Projections de Troupe d’élite (Tropa de Elite) de J. Padilha à 18h et d’Ugly d’Anurag Kashyap à 20h30. La projections sera suivie d’un débat animé par N. Bautès et J. Rivelois, avec Angelina Peralva et Laurent Gayer.
Plus d’informations ici.
Mois : octobre 2014
20 octobre 2014 : « L’Envers de la ville » – Habiter et résister
Projections de Dans les décombres (Qian men qian) d’O. Meys à 18h30 et de Villa El Salvador. Les bâtisseurs du désert de M. Paugam et J-M. Rodrigo à 20h30. La séance sera suivie d’un débat animé par S.Jacquot et A.Sierra, en présence d’Agnès Deboulet, Matthieu Giroud et Marina Paugam.
Plus d’informations ici.
17 octobre 2014 : « L’Envers de la ville » 2 – Loi et arrangements
Projections de Prove di Stato de L. Di Costanzo à 18h30 et de Kakfa au Congo d’A. Zajtman et M. Rabaud à 20h30, suivis d’un débat animé par M. Morelle et S. Jacquot, en présence de Tommaso Vitale, Camille Dugrand et Marlène Rabaud.
Plus d’informations ici
16 octobre 2014 : « L’Envers de la ville »
Lancement du festival « L’Envers de la ville » avec un pot d’accueil à 19h, la projection de Main basse sur la ville (Le Mani sulla città) de F.Rosi à 20h et une table ronde avec les membres de l’équipe Inverses. Voir le programme détaillé ici
Festival international de géographie de Saint-Dié 2014 : Alexis Sierra : Habiter dans les territoires de l’incertitude
Alexis Sierra a présenté au Festival International de Géographie de Saint-Dié deux conférences qui déclinaient la problématique de l’habiter dans les territoires de l’incertitude. La première, le 3 octobre, avait pour sujet l’habiter dans les confins internes à l’agglomération de Lima ou comment l’indétermination des limites administratives internes à la ville favorisent le développement de conflits entre municipalités alors que les populations qui y résident en font une opportunité grâce à diverses stratégies de détournement de la règle. La seconde, le 5 octobre, avait pour sujet l’habiter dans les zones classées à risque et montrait comment le risque est une forme de domination conduisant à stigmatiser certaines formes d’habiter contre laquelle les habitants développent des formes de résistance tout en développant des ressources utiles à la gestion d’une possible crise mais non reconnues comme citadines. Ces conférences furent l’occasion de présenter le programme INVERSES qui a co-financé cette participation au FIG
